J'ai pas de nom...

Bon... Voila quoi je tente, mais je pense pas que ca soit passionant...
Enfin je tente ... Jvous met un tout ptit premier chapitre...
Dites moi quoi,pour le style, lourd non ? Fin bon


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Chapitre 1


Un jeune homme était assis, la tête entre les mains, sur son lit aux draps verts et noirs. Ses cheveux blonds décoiffés, sa robe froissée, des cernes immenses sous les yeux, Draco Malfoy semblait perdu dans ses pensées.

Dans le Parc de Poudlard, la fête battait son plein. En effet, Celui-Dont-Le-Nom-Ne-Doit-Pas-Etre-Prononcé avait été vaincu en Août, et le monde sorcier laissait éclater sa joie d’être enfin débarasser de cette constante menace. Le Survivant avait détruit tout les Horcruxes et mit fin au jour de Lord Voldemort avec, parait il, une facilité surprenante. Draco n’en savait pas plus et en vérité il n’en avait rien à faire. Il était descendu une heure auparavant, et le spectacle consternant de ce Potter que l’on adulait de toutes parts lui était insupportable.

Potter…

Le Serpentard sursauta lorsqu’un autre homme entra dans le dortoir.
-Eh bien Malfoy, je ne vous ai jamais vu aussi négligé. Ou est partie votre incomparable fierté ?
Draco ne répondit pas, gardant les yeux rivés sur le sol.
-Regardez moi quand je vous parle je vous prie.
Il leva lentement les yeux vers son interlocuteur.
-Vous semblez exténué, qu’est ce qui peu à ce point vous tourmenter ?
Draco murmura
-Comme si tu ne le savais pas…
-Pardon ?
Ils se regardèrent dans les yeux, puis le blond refixa le sol.
L’homme s’accroupit devant l’élève et remit une mèche blonde derrière son oreille, il lui releva la tête et approcha ses lèvres des siennes. Draco esquiva le geste.
-Professeur, je ne veux plus.
Les yeux de Severus Rogue lancèrent des éclairs.

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OHHHHHHHHHHHHHHH CEST GENIAL
SEVY ET PUIS DRAY DAMOUR
PLUS SEXY QUE JAMAIS
(<= celui qui dit qui s'attendait à cette réaction )

Continue Lyra!
c'est génial
enfin on est trop pareil c'est peut être pour ca que je dis ca

Et puis j'adore le récit, c'est encore mieux que le dialogue!!
continue

Sont un peu court, mes chapitres... mais tant pis

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Chapitre 2


-« Devrais-je vous rappeler, Malfoy, que vous avez une dette envers moi ? Que votre honneur, votre liberté, votre vie ! dépendent de ma seule volonté ? » lança le maître des potions.
-Avec tout le respect que je vous doit, professeur (cette appellation était appuyée d’un profond mépris) ce n’est pas moi qui ai assassiné Dumbledore.

Draco reçut la gifle la plus surprenante de sa vie.

-Vous savez aussi bien que moi que, même l’ayant voulu de toutes mes forces, je n’aurais pu éviter ce meurtre étant donné le fait que j’étais soumis à un sortilège impardonnable ! Cela dit, Draco, vous étiez vous aussi du coté de Vous-Savez-Qui.
-Mais je n’ai torturé ou tué personne.
-Cela n’adoucirait pas votre peine si je venais à briser les mensonges que j’ai mis en place afin de vous innocenter, par amitié pour vos parents. Par amour pour vous.

Le directeur des Serpentards se pencha et dit à l’oreille de son élève :

-C’est votre parole contre la mienne.

Il retenta ses avances. Malfoy, vaincu, n’opposa plus de résistance et se soumis aux caresses de son professeur. Celui-ci se contenta d’un baiser passionné et sorti du dortoir sans autres paroles.

Draco se jeta de rage sur son lit et, les poings serrés, se remémora comment il avait pu en arriver là.

Après l’assassinat de Dumbledore, Rogue et Malfoy était parti se réfugier dans les sous-sols de la demeure des Black dont Bellatrix Lestrange avait hériter, sachant les Aurors a leur trousses. Celle-ci capturée quelques heures plus tôt, ils pensaient que la maison était une cachette convenable.

-Professeur, commença Malfoy, comment avez-vous pu ?
-Un des mangemorts m’avait lancé un Imperium… Je suis la cible rêvée, qui d’autre mieux que moi pouvait trahir Dumbledore...
-Je ne voulait pas être de leur coté professeur, je ne l’ai jamais voulu.
-Eh bien, nous en somme au même point, Malfoy, deux innocents ayant le profil parfait du traître. Moi par mon passé, vous par votre famille.

Ils se regardèrent longuement.

-Qu’allons nous faire professeur ?
-Attendre, Malfoy, attendre. Je parviendrais à nous innocenter, sans aucun doute.

Il prit les mains de Draco dans les siennes.

-Il faut me faire confiance.

La détonation d'un feu d'artifice dans le parc ramena le blond au présent.

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Chapitre 3

Draco sorti du dortoir, ayant revêtu son inimitable arrogance, et c’était comme si rien n’avait eu lieu.
Il nargua quelque Gryffondors en passant, certainement pour se convaincre lui-même qu’il en était toujours capable, mais le cœur n’y était plus. Il priait juste intérieurement pour que Rogue ne le croise pas, sinon tous ces efforts pour paraître aussi insensible et intouchable seraient détruits. Par chance il put descendre jusqu'à la grande salle sans peine et il alla s’asseoir à la table de sa maison.
Il y avait très peu d’élèves a l’intérieur, tout le monde restait dans le parc. Ils étaient rentrés à Poudlard il y a trois jours, mais les cours n’avaient pas encore repris, cette semaine était consacrée à diverses fêtes et manifestations de joie. Tout le monde faisait semblant d’oublier qu’Albus Dumbledore ne tiendrait plus de discours absurde devant ses élèves. Mac Gonnagal avait pris sa place, mais ce n’était vraiment plus comme avant.

-Salut Malfoy !

L’interpellé sursauta, sorti de ses pensées. Harry Potter venait de s’asseoir à ses cotés, tout sourire.
-C’est la table de Serpentard ici, Potter, tu sais, la maison qu’un bon Gryffondor se doit de mépriser.
-Non Malfoy, non, je ne te méprise pas ! Répondit Harry
-Ah bon ? Vive la réciprocité.
-Ton ironie m’a toujours plus, ô fidèle détracteur. C’est pour ça que je t’aime.
Et il pris dans ses bras le Serpentard. Ebahi, Draco mis un moment à réagir
-Lache moi Potter ! Mais, tu es saoul !
-Juste un peu, allez sois gentil, avoue que tu m’aime !
Et il se leva, reparti en fredonnant une chanson qui parlait d'un Mangemort a Azkaban.

Le teint pâle de Malfoy avait viré au rouge.

Potter…

Il avait touché un point sensible, cet ahuri, oh oui Draco l’aimait. Il ne l’avouerait pour rien au monde bien sur.
Il avait reçu l’ordre de le tuer, lui et Dumbledore. Mais lorsqu’il avait eu cette conversation avec l’ancien directeur, il l’avait aperçu immobilisé, vulnérable, et avais compris qu’il ne pourrait plus lui porter atteinte, et encore moins lui ôter la vie.

Dumbledore avait vu juste, il n’était pas un tueur.

Draco releva sa manche, la marque qui témoignait de son statut de Mangemort n’était plus qu’une infime tache noire qui disparaissait peu a peu. Bientôt la preuve de l’erreur de sa vie ne serait plus et peut être qu’alors Rogue le laisserait il en paix.

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Ouais mais il la laissait a Bella vu que ct la descendante des Black non ?

J'hésite maintenant

Bon ben tant pis...

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Chapitre 4

Rogue lui avait dit de lui faire confiance. Il avait ruminé des plans pendant une semaine, sans vouloir en toucher mots à son élève. Mais les Aurors les avaient retrouvés. Tonks et Maugrey avaient été envoyés pour fouiller la maison. Les deux suspects étaient assis, bras et jambes liés par un sortilège. Rogue semblait tellement serein que Draco avait envie de le frapper en hurlant qu’il ferait bien de s’inquiéter, car Azkaban était proche.

-Je suppose que tu n’as pas de quoi te défendre, Severus. Tu vas aller dire bonjour aux détraqueurs, les pauvres t’attendent depuis tellement longtemps. Et plus personne n’est la pour te donner une nouvelle chance. Tu a détruit toi-même le seul homme qui avait confiance en toi, pourriture !

Maugrey avait presque hurlé cette dernière phrase, faisant sursauter Draco dont il ne semblait d’ailleurs pas ce soucier.

-Tu te trompes Alastor. Premièrement, je ne suis pas coupable, j’étais…
-Soumis à un Imperium ! Mais personne n’y croit ! Arrête, tu t’enfonces !
-Deuxièmement, continua calmement Rogue, j’ai de quoi me défendre.

Il sorti de sa poche un morceau de parchemin dont l’inimitable écriture vert émeraude ne laissait aucun doute sur sa provenance.

Maugrey arracha le parchemin et son oeil magique le parcouru à toute vitesse.



Mon cher Severus,

Si cette lettre te parvient, c’est que ma santé n’est pas des meilleure, à vrai dire je suis certainement mort.
Je sais de part mon expérience que tous les soupçons se tourneront vers toi si cette mort n’est pas naturelle, et je ne veux pas qu’un fidèle ami finisse injustement entre les mains des détraqueurs (car tu le sais, je les aime et les approuve totalement).
Il serait intelligent de ta part de te servir de cette missive si par hasard on te croyait coupable de mon départ (mais le ministère est tellement efficace qu’il ne jugerait pas un innocent, n’est ce pas ?).
Je salue en passant l’Auror qui lit cette lettre. Tout devrait aller pour le mieux.
En espérant que nous ne nous reverrons pas trop vite…

Albus Dumbledore.


Maugrey soupira, montra la lettre à Tonks.

-C’est un faux, tout simplement ! Dit elle.
-Non, non c’est un vrai. Je sais voir ces choses là et tu sais que je n’épargnerais pas cette crapule si j’avais le moindre soupçon d’un faux.
-Mais…
-Tu peux partir Severus.

Les deux Aurors était dépité, Maugrey défit le sort d’un coup de baguette et transplana sans rien ajouter, emportant le parchemin.
Rogue et Draco se levèrent et firent mine de sortir de la pièce, mais Tonks remarqua enfin qu’ils avaient oublié Malfoy. Elle l’empoigna par sa robe.

-Et toi, tu as aussi une lettre de Dumbledore sur toi ?
-Laisse-le ce n’est qu’un enfant, intervint Rogue.
-Enfant ou pas il me semble que d’après Potter, il est Mangemort, lui aussi.
-Potter est un affabulateur.
-Ah oui ?

Et il releva la manche de Draco, dévoilant la preuve qu’il était au service de Vous-savez-qui.
Draco ferma les yeux, s’en était fini de lui. Mais l’Auror lâcha son bras.

-Je suis désolée, dit elle au Serpentard, j’aurais juré que… Et bien je n’ai plus qu’à vous laisser...

Et de même que son confrère, elle transplana sur le champ.

-Professeur ? Balbutia Draco
-Illusion, Malfoy, d’où l’importance des sortilèges informulés.

Et il sorti de la pièce, un sourire amusé aux lèvres.


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Merde... Fait chier je pensais qu'au final Harry en voulait pas et qu'il la laissait..

De totue facon c'est pourri alors tant qu'a faire

C'est bien Lyra je t'assure tu écrit vraiment bien et l'histoire est bien aussi,bonne chance