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 Le générateur de mots d'amour ou votre roman

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Mary Edgy
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Mary Edgy


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MessageSujet: Le générateur de mots d'amour ou votre roman   Le générateur de mots d'amour ou votre roman EmptyDim 26 Fév - 18:30

http://www.unpeudamour.com/roman/index.php

Ce site est pas mal. Mettez des caractéristiques mais pas n'importe quoi au début s'il vous plait. Puis le site va créer VOTRE roman d'amour...

C'est pas mal !!! smile
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Mary Edgy
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MessageSujet: Re: Le générateur de mots d'amour ou votre roman   Le générateur de mots d'amour ou votre roman EmptyDim 26 Fév - 18:31

Quand Tu Me Tiens...
par Mary Edgy (ou EB smile bleu )




Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Jack embrumait Londres. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.

Il frappa énergiquement. Des pas se firent entendre, et une mignonne voix chanta:
- Qui est là?
- C'est Jack! Répondit celui-ci.
- Je ne connais aucun Jack! Dit la voix.
Il y eut un silence.
- C'est toi, Melissa? Fit Jack.
La porte s'ouvrit soudain:
- Mais oui c'est moi, mon Jack! Je t'ai bien eu.
Il allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps:
- Entre, dit-elle.
Jack la suivit jusqu'au salon.
- Assieds-toi, fit Melissa.
Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise.
Il ferma les yeux, et bailla.
- Viens sur mes genoux, dit-il à Melissa. Je vais te raconter quelque chose.
Celle-ci obtempera, et fit comme si elle ne se doutait de rien. Mais elle savait exactement ce qui allait se passer. D'ailleurs, elle ne fut pas sitôt près de lui qu'il la serra dans ses bras et se mit à l'embrasser fougueusement. Peu après, elle le regarda et lança:
- Tu es tellement prévisible que tu en es touchant!
- Ah oui? Fit Jack. Ça, c'est ce que tu crois. Car j'ai la preuve du contraire.
- J'aimerais bien voir ça!
- Viens, je vais te le dire en secret... dit-il.
Mais Melissa, pas dupe, se jeta sur lui avant qu'il n'ait eu le temps de tenter quoi que ce soit, et l'embrassa à son tour.
Ils se regardèrent. Jack approcha sa bouche de l'oreille de Melissa et chuchota:
- Je t'aime...
Bien sûr, il lui avait déjà dit qu'il l'aimait. Bien sûr, il lui avait dit des milliers de fois. Mais ce sentiment était toujours le même. Il voulut le lui dire.
- Nous nous connaissons depuis tant d'années... tu as tellement changé, depuis... et puis non, tu n'as pas tellement changé. Et je n'ai jamais eu d'autre amour que le tiens.
- Il en est de même pour moi, mon chéri, déclara Melissa. Personne ne pourra remplacer ton si tendre sourire. Tu es unique, grâce à plein de petites choses. Personne n'a ta démarche, Personne n'a tes cheveux. Personne n'imite aussi bien que toi le cri du chat. Personne ne connait l'histoire de Londres aussi bien que toi. Personne à part toi ne m'a jamais dit que j'étais mystérieuse. Bref, personne à part toi ne mérite d'être dans mon coeur.
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Melissa pour saisir le bras de Jack et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Monet, ou comme ''I Will Always Love You'' de Whitney Houston. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Jack ferma les yeux et eut l'impression d'aimer en haut d'un saule pleureur. Et soudain tout s'arrêta.
- Melissa...
- Oui?...
- Melissa... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Toute la nuit, ils restèrent enlacés, à parler, ou à s'embrasser.
- Je t'ai déjà parlé de Ruben? Demanda Jack.
- Non.
- Il m'a dit un jour que je ne pourrais jamais séduire qui que ce soit, même une folle.
- Il ne faut pas écouter ce genre d'idioties... comment pouvait-il te dire ça, à toi, qui es si... adorable!
- Tu ne le connais pas. Sa bêtise dépasse l'entendement.
- Je veux bien te croire!

Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux.
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Sexy Draco
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MessageSujet: Re: Le générateur de mots d'amour ou votre roman   Le générateur de mots d'amour ou votre roman EmptyDim 26 Fév - 18:42

Genial!!!! je suis mdr!!!!!

J'ai pas encore tout lu lol lol

Premiers Regards Premiers Désirs
par A F

Les cheminées fumantes enveloppaient Paris d'une brume artificielle, et firent tousser Dray. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Plus vite qu'il ne l'aurait pensé, il se retrouva devant la porte.

Il sortit ses clefs, fit tourner le verrou, et entra.
- Anne, tu es là? Appela-t-il.
Un bruit de pas précipités se fit entendre. Peu après, elle apparut dans le couloir.
- Donne ton manteau, je vais te débarrasser, dit-elle.
- Tu es si espiègle, répondit simplement Dray.
- Tu viens? Fit gaiement Anne.
Dray pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Un silence s'ensuivit. Puis Anne, qui le regardait, lança doucement:
- Alors? Tu ne m'embrasses pas?
Dray sourit.
- Je fais durer le plaisir, dit-il.
Puis il ajouta:
- Approche...
Anne s'exécuta, et Dray posa sur sa bouche un baiser silencieux. Puis un autre. Encore un.
- Je...
Mais elle n'eut pas le temps de finir sa phrase, ni même de la commencer, puisque Dray la gratifia cette fois d'un long et tendre baiser. Quand cela fut terminé, Anne sourit.
- C'est toi qui embrasses le mieux de tous mes amants, dit-elle.
- Petite dévergondée, rit Dray.
Une fois de plus, Dray prononça les trois mots magiques.
- Je t'aime.
Mais cette fois-ci, cela sonnait autrement. C'était plus beau. C'était plus fort.
- Depuis seulement 24 heures que je t'ai vue, je n'ai jamais eu d'autre amour que le tiens.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Anne.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus maligne que je n'ai jamais connue! La plus maligne de tout Paris! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si élégant...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce serpent, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Dray, tu as beaucoup de qualités...
- Embrassons-nous encore... souffla Dray.
Ils s'embrassèrent donc. Au loin, on entendait ''Nocturne'' de Chopin. D'où cela venait-il? Quelle importance, du moment que c'était là. Bientôt, la musique, l'amour, les entraînèrent dans un tourbillon sans fin. Il n'y avait plus de plafond, plus de mur. Paris était loin. Ils virent passer un chêne, au dessous d'eux. Puis deux. Maintenant, ils étaient sur la mer. Ils frissonnèrent... était-ce le vent qui s'était levé et qui faisait frémir un peu leur peau? Quelques nuages voilèrent le ciel. A mesure que les notes s'envolaient, la musique devenait de plus en plus belle, et le ciel de plus en plus gris. On se serait cru dans un tableau de Chagall. Des larmes de joie dans la voix, la musique jouait. Quelques gouttelettes de pluie vinrent alors troubler cet océan, tels des pizzicatos que le vent sifflant emportait au loin avant de les renvoyer à la figure des amoureux. Après quelques instants les gouttes grossirent, s'écrasant lourdement sur la surface de l'eau. Anne, que la folie saisissait, se voyait désirer au milieu des éclairs... Plus la musique jouait plus le temps s'agitait, plus le ciel s'assombrissait, plus les vagues grandissaient, se brisant bientôt contre leurs pieds dans une explosion d'écume crépitante, poussées par des bourrasques assassines... leur baiser dansait sur cet air tourmenté, cet océan symphonique, cet opéra dramatique, les vagues étaient à présent immenses et la pluie tranchait le ciel plus sombre que la plus noire des nuits, c'était affreusement grand et terriblement beau, si beau que ça faisait mal, la musique hurlait sa douleur, de plus en plus fort, les notes tourbillonnaient, le vent devenait tornade, les vagues devenaient rouleaux, les amants tournoyaient, autour de leurs bouches, autour de leurs mains... et tout s'arrêta soudain.
- Notre mariage a été la plus merveilleuse idée de notre vie, murmura Anne.
- Je suis bien d'accord avec toi...
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Dray.
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop sublime pour que je te quitte, répondait Anne. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Snape. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.

Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux.
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Mary Edgy
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MessageSujet: Re: Le générateur de mots d'amour ou votre roman   Le générateur de mots d'amour ou votre roman EmptyDim 26 Fév - 18:57

Les Aisselles Bouclées
par Mary Edgy



Les cheminées fumantes enveloppaient Londres d'une brume artificielle, et firent tousser Ron. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Sans comprendre, il fut face à la porte.

Sans attendre, il sonna. Quelques secondes s'écoulèrent. Les tempes de Ron battaient. Comme personne n'ouvrait, il sonna une nouvelle fois. Mais rien ne se passa. Il frappa, sonna, frappa, sonna encore et encore... puis il décida d'attendre.
Il attendit une heure. Puis deux. Au bout de trois heures, désespéré, il se leva, et après avoir sonné une dernière fois, tourna les talons et s'en alla. Mais à peine fut-il en route qu'un bruit de verrou attira son attention. Il fit volte-face, et aperçut Elodie sur le pas de la porte.
- Je... excuse-moi, dit-elle. Je suis désolée, je... je...
- Tu es si spirituelle, la coupa Ron.
- Entre, ajouta Elodie.
Ron pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Elodie vint s'asseoir près de lui.
- Alors, que racontes-tu?
- Euh... rien, rien de bien spécial.
Ron semblait ailleurs. Son amie s'en aperçut et lui demanda s'il allait bien.
- Oui, je vais bien! En fait...
- En fait?
- En fait, j'ai simplement envie de t'embrasser.
Elodie eut un sursaut.
- Me... mais... moi?
- Oui.
Un silence s'ensuivit. Ron comprit qu'il était allé trop loin.
- Excuse-moi, Elodie, je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça.
- Tu ne le sais pas?
- Euh... à vrai dire, euh... enfin, je voulais dire que...
- Est-ce que tu étais sérieux? Le coupa Elodie.
Il hésita.
- Je suppose que non. J'ai sûrement dit ceci sans réfléchir. Je suis désolé.
- Ron...
- Je suis désolé, oublie-ça.
- Ron, embrasse-moi...
Cette fois-ci, ce fut lui qui sursauta. Après un moment, sans mot dire, il approcha ses lèvres de celles de Elodie. Puis, dans le silence de cette maison tranquille, au milieu d'une journée comme les autres, ils s'embrassèrent pour la première fois.
Une fois de plus, Ron prononça les trois mots magiques.
- Je t'aime.
Mais cette fois-ci, cela sonnait autrement. C'était plus beau. C'était plus fort.
- Cela fait maintenant cinq ans que nous nous connaissons. Et j'ai toujours su que c'était toi l'amour de ma vie. Et ce, malgré mes aventures passées.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Elodie.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus gracieuse que je n'ai jamais connue! La plus gracieuse de tout Londres! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si charmeur...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce chat, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Ron, tu as beaucoup de qualités...
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Elodie pour saisir le bras de Ron et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Boteccelli, ou comme ''You Are So Beautiful'' de Ray Charles. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Ron ferma les yeux et eut l'impression de admirer en haut d'un saule pleureur. Et soudain tout s'arrêta.
- Marions-nous...
- Pourquoi n'est-ce pas déjà fait?
Ils rirent. Ils étaient heureux.
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Elodie, car hier matin, Harry a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Ron est plus généreux que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''

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MessageSujet: Re: Le générateur de mots d'amour ou votre roman   Le générateur de mots d'amour ou votre roman EmptyDim 26 Fév - 21:58

Au Coeur De La Nuit

par M.W.


Un oiseau survola Londres avant de venir tournoyer au-dessus de la tête de Cédric. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Sans comprendre, il fut face à la porte.

Il frappa énergiquement. Des pas se firent entendre, et une douche voix chanta:
- Qui est là?
- C'est Cédric! Répondit celui-ci.
- Je ne connais aucun Cédric! Dit la voix.
Il y eut un silence.
- C'est toi, Evangeline? Fit Cédric.
La porte s'ouvrit soudain:
- Mais oui c'est moi, mon Cédric! Je t'ai bien eu.
Il allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps:
- Entre, dit-elle.
Cédric la suivit jusqu'au salon.
- Assieds-toi, fit Evangeline.
Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise. Il leva la tête vers Evangeline, et lui sourit.
- Tu vas bien?
- Embrasse-moi immédiatement. Ordonna-t-elle.
Cédric, prit au dépourvu, voulut comprendre, mais son amie ne lui en laissa pas le temps puisqu'elle se jeta sur lui et l'embrassa langoureusement. Lorsqu'elle se redressa, Cédric vit ses yeux qui brillaient. Alors, sans mot dire, il se pencha vers elle, et à son tour, posa ses lèvres sur les siennes. Pour la seconde fois de leur histoire, donc, ils s'embrassèrent.
Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Evangeline poussa un soupir qui résonna dans la pièce comme une brise sur l'océan. Cédric en profita pour articuler, le coeur battant:
- Je t'aime.
Son amie le regarda.
- C'est vrai?
- Ça y est... cela fait déjà un an... cela fait une année, une année que la foudre m'a frappé... cela fait un an que nous nous sommes rencontrés. Et tu es la seule personne que j'aie jamais aimée.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Evangeline.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus envoutante que je n'ai jamais connue! La plus envoutante de tout Londres! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si calme...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce loup, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Cédric, tu as beaucoup de qualités...
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Evangeline pour saisir le bras de Cédric et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Picasso, ou comme ''Goodbye My Lover'' de James Blunt. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Cédric ferma les yeux et eut l'impression de mourrir en haut d'un saule pleureur. Et soudain tout s'arrêta.
- Je voudrais t'épouser, dit Cédric.
Evangeline tressaillit.
- Pardon?
- Je t'aime. Je veux t'épouser. Veux-tu être ma femme, Evangeline?...
Leurs lèvres tremblaient.
- Oui! Murmura-t-elle.
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Evangeline, car hier matin, Maxime a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Cédric est plus sublime que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''

Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment.

*******************

C'est marrant, mais j'aime pas les histoire d'amour Cul-cul...lol
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MessageSujet: Re: Le générateur de mots d'amour ou votre roman   Le générateur de mots d'amour ou votre roman EmptyLun 27 Fév - 0:08

lol
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MessageSujet: Re: Le générateur de mots d'amour ou votre roman   Le générateur de mots d'amour ou votre roman EmptyLun 27 Fév - 22:44

Citation :
A Werewolf's Story
par Line Caron (Luna99)


Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Remus embrumait Londres. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Apercevant la photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celle qu'il rejoignait. Sans comprendre, il fut face à la porte.

Il frappa énergiquement. Des pas se firent entendre, et une maladroite voix chanta:
- Qui est là?
- C'est Remus! Répondit celui-ci.
- Je ne connais aucun Remus! Dit la voix.
Il y eut un silence.
- C'est toi, Tonks? Fit Remus.
La porte s'ouvrit soudain:
- Mais oui c'est moi, mon Remus! Je t'ai bien eu.
Il allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps:
- Entre, dit-elle.
Remus pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Puis il fixa Tonks. Celle-ci était debout près de lui. Lui tremblait d'émotion. Elle, ne disait rien. Il se leva, s'approcha d'elle.
- Tonks...
Elle détourna la tête.
- Tonks, répéta-t-il.
Alors elle le regarda. Au moment où leurs regards se croisaient, leurs lèvres se touchèrent.
- Euh... bredouilla Remus.
Mais les mots ne venaient pas... alors Tonks passa sa main derrière la nuque de son ami, et l'embrassa. Cela dura une éternité. C'était la première fois qu'ils ressentaient une telle émotion, et ils ne s'arrêtaient plus.
Puis lorsque les premières étoiles scintillèrent dans leurs yeux épuisés, leurs lèvres se quittèrent. Comme deux plongeurs en apnée, ils reprirent leur souffle en même temps que leurs émotions.
Puis Remus approcha sa bouche de l'oreille de son amie et chuchota quelque chose d'imperceptible. Soudain, une larme coula sur la joue de Tonks.
- Moi aussi, je t'aime, dit-elle.
- Depuis maintenant deux ans que nous nous sommes rencontrés, je n'ai jamais eu d'autre amour que le tiens.
- Oh... c'est bien vrai?
- Oui, c'est vrai.
- Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi charmant à l'intérieur qu'à l'extérieur.
Remus rougit. Il se sentait bien. Au loin, un loup criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.
- Ma puce... Tonks...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un hêtre, en train de aimer à l'air libre. Près d'eux, Nobuo Uematsu chantait ''Eyes On Me'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Remus fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Cosard, Tonks réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Remus rouvrit les yeux.
- Je voudrais t'épouser, dit Remus.
Tonks tressaillit.
- Pardon?
- Je t'aime. Je veux t'épouser. Veux-tu être ma femme, Tonks?...
Leurs lèvres tremblaient.
- Oui! Murmura-t-elle.
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Tonks, car hier matin, Maugrey a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Remus est plus adoraaaaaableuh que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''

Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment.

pourquoi vous me regardez comme ça ??? Eek
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